D’où vient votre projet ?

De mon addiction aux mots et à la littérature.

 

– Pourquoi la CAE CLARA et CLARAbis a-t-elle été votre réponse entrepreneuriale ?

Parce que c’est une structure solidaire, collective, qui me permet de réunir en un seul lieu géographique, humain, éthique mais aussi administratif et comptable toutes mes activités professionnelles d’artiste numérique et de créative consultante en communication. Une question de cohérence…

 

– Comment voyez-vous l’avenir ?

Côté perso : je travaille à ce que l’artistique prenne le pas sur la partie « communication » de mes activités. 
Côté collectif : je veux voir dans les coopératives un modèle d’avenir, éthique, permettant de recréer une solidarité autogérée entre les indépendants précaires et isolés des métiers artistiques et culturels qui sont mis en grande difficulté par l’évolution actuelle du système ultra-libéral. Un mode d’organisation du travail écologique, c’est-à-dire recherchant l’équilibre et le partage, pas le développement à n’importe quel coût sociétal, environnemental et humain.

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