Camille Ferré

– D’où vient votre projet ?
Je me suis mis à la photographie pendant mes études de cinéma, j’ai vraiment eu un coup de foudre pour les arts visuels que je n’avais jamais vraiment approfondit à l’époque (je leurs préférais l’écriture). Mon projet de l’époque était déjà celui de travailler dans le domaine artistique mais plutôt dans le cinéma, puis peu à peu la photographie à pris une place assez importante dans ma vie. Pour faire partie de mon projet une fois arrivé à Clara Bis.

– Pourquoi la CAE CLARA et CLARAbis a été votre réponse entrepreneuriale ?
J’ai entendu parler des coopératives d’activité pendant les premiers mouvement de remises en question de l’ubérisation de ma génération. A ce moment là j’étais à la fin de mes études et mon avenir professionnelle était encore assez flou. Une première tentative en temps qu’auto-entrepreneuse m’avait complètement déplus et l’idée d’intégrer une structure plus solide et accompagnante me paraissait plus viable sur le long terme.

– Comment voyez-vous l’avenir ?
 Plutôt positivement, cela prend du temps de se faire un carnet d’adresse quand on sort de l’université, de rencontrer de nouvelles personnes – futurs collègues ou clients – d’arriver à comprendre comment bien agencé son site ou ces outils de communication. Mais l’acharnement commence à porter ces fruits et la rentrée 2018 semble se présenter parfaitement.
J’ai également le projet d’ouvrir une boîte de production audiovisuelle avec un réalisateur avec lequel je travail depuis un peu plus d’un an.

Plusieurs façons de découvrir son travail : 

Son site internet